Album de famille

Je m'aperçois que je n'ai pas encore vraiment fait les présentations. Alors voilà.

1. Papa Hérisson
Tu veux ma photo?
C'est moi. Surnommé ainsi car j'ai coutume de me raser avec une biscotte les jours de flemme (et comme le dit Krän le barbare : y'a des jours tous les jours!), mais aussi parce qu'à l'image de mon animal totem, j'ai tendance à ronchonner et me mettre en boule assez facilement.
Trentagénaire quelconque, j'exerce un métier du même métal qui a pour seul mérite de payer les épinards (mais pas vraiment le beurre dedans). Je peux me montrer stupide et borné (comme tout un chacun), mais je compense cela par beaucoup de mauvaise foi (comme tout individu de sexe masculin me susurre belle-maman à l'oreille).
J'ai une adorable compagne avec laquelle je vis dans le pêché puisque nous ne sommes pas marié. C'est chouette le pêché. Nous avons deux gnomes (respectivement 3 ans et 4 ans à ce jour) qui font ma fierté, ma joie, mon ulcère et mes cheveux blancs (ah bin tient!? non j'en ai pas encore...). Nous avons également un chien et un nombre variable (malheureusement assez souvent à la hausse, j'y reviendrai à l'occasion) de chats.
Je suis plutôt écolo. Non, ça ne veut pas dire que je vote EELV, j'ai dit que j'étais écolo, pas que je vivais au pays des bisounours et des petits poneys. Je suis aussi un peu (beaucoup) cynique, complètement agnostique (voire apathéiste) et plutôt tolérant (sauf en cas de bêtise humaine caractérisée :  là j'extermine et je fais sécher au grenier. Il faut bien aider un peu la sélection naturelle : Darwin power!) . Je suis aussi plutôt optimiste, voire utopiste : je pense que nous pouvons un jour vivre dans un monde en paix, ou tout le monde mangera à sa faim et pourra prier le dieu de son choix sans se prendre des tirs de kalachnikov dans le museau. En même temps, vu qu'il restera seulement une poignée d'êtres humains sur un monde en ruine avec tout juste quelques hectares vivables, ça simplifiera énormément les choses (là, c'est le côté cynique qui parle par exemple).
Mon rêve ultime? Mettre en place une ONG chargée de distribuer les coups de pieds au cul qui se perdent trop souvent. Le recrutement des bénévoles se ferait de façon privilégiée parmi les piliers de rugby. Le dressage de gorilles et de grizzlis chargés de distribuer les beignes oubliées viendrait dans un second temps.

2. Maman Koala
Pose pin up et tout et tout!
C'est ma compagne. Surnom dû aux deux gnomes qui ne la lâchent guère, tels des bébés koalas accrochés à sa fourrure, mais aussi à son implication écologique. Et aussi occasionnellement, à son grand dam, en raison de ses pattes un peu poilues (la passage de la débroussailleuse n'ayant pu se faire par manque de temps).
Douce et tendre comme il se doit, il faudrait cependant voir à ne pas la prendre pour une buse. Attention, si on s'attaque à nos enfants, elle mord, se transformant du coup en maman Loup +30 contre les malfaisants. Elle ne fait sécher personne au grenier, elle préfère enterrer au jardin, "C'est bon pour les cultures, ça laisse moins de traces, et faut pas gâcher." dixit elle-même.
Maman Koala était  en congé parental jusqu'à récemment : "ça sert à quoi de faire des gnomes si c'est pour les faire élever par la nounou, avec un droit de visite chaque matin et chaque soir?". Elle prépare l'ouverture de son cabinet de naturopathe (une sorte de toubib à l'état sauvage si j'ai bien compris). Elle a une conscience écologique aiguë (l'instinct maternel sans doute), une conscience politique que je qualifierais de pragmatico-naïve (elle lit le programme des candidats pour se décider, partant donc du principe que ces derniers le respecteront une fois élus. Ah ah ah!), une conviction religieuse proche du néant, et n'est pas fan de mes calembours pourtant subtils et délicats.
Maman Koala est aussi une excellente cuisinière et s'attache à nourrir toute la famille de façon saine et équilibrée avec les maigres mirifiques revenus du foyer. Accessoirement, elle sait apaiser les brûlures par apposition des mains (véridique), réparer les pc par démontage remontage des pièces, et fait revenir l'être aimé en moins de 24h (pure supposition).

3. Le Petit Prince, barde à temps partiel
Notre fils de six ans : classe barde. Surnommé "Petit Prince" parce qu'il est souvent dans son monde (il est plutôt du genre rêveur) et que son doudou est un mouton. Moins casse-cou et acrobate que sa sœur, son crash-score est pourtant plus élevé (ce qui lui a valu un temps le surnom de Plouf-le-cascadeur)... peut être est-il plus maladroit, ou moins chanceux (surement les gènes de papa Hérisson). Ainsi, au cours des 2 dernières années, notre cascadeur a réussi à :
  • se cramer la main sur la grille encore chaude du barbecue malgré moult avertissements (grâce au don de maman Koala par rapport aux brûlures : plus la moindre trace à ce jour. Ouf!)
  • se viander le museau sur le muret de briquettes de la cheminée (ce qui lui a valu le surnom de Scarface pendant les 3 mois suivants)
  • tenter la noyade dans l'étang communal (heureusement peu profond à cet endroit, et à tout juste 30 cm de papa Hérisson qui plongea courageusement dans l'eau pas bien chaude).
Sinon, sa classe de prédilection, ça serait plutôt barde : il a toujours quelque chose à dire, à raconter, et surtout à chanter. Ou alors, c'est qu'il est malade. Et même malade... Plutôt futé, charmeur et négociateur, il a très vite compris que l'emploi de certains mots-clé ("S'il-te-plait", "Merci", "Je t'aime", etc...) lui permettait d'obtenir plus facilement ce qu'il voulait. Il adore qu'on lui raconte des histoires, et adore raconter des histoires (pas toujours très structurées, mais bon, hein...).
Sa dernière trouvaille : prendre ses parents pour des idiots. Exemple (tenant une paire de pince à linge dans les mains) : "Regarde maman, des ânes!". Réponse de maman Koala, rentrant dans son jeu : "Oh oui, et ils font hi-han!". Ce à quoi il répond : "Bah non maman, ce sont des pinces à linge!". Jeu, set et match : le Petit Prince.
Peut-être victime du syndrome  "6ième sens", il voit des choses mortes partout. Taupe morte, oiseau mort, souris morte, papillon mort. Bon, il faut bien admettre que les chats n°1, 2 et 3 aident pas mal à alimenter ces visions en déposant de petits cadeaux très régulièrement.

4. Xéna, princesse-guerrière
Oui oui : princesse ET guerrière!
Notre fille, cinq ans au compteur. Bi-classée princesse et guerrière. Voir sur-classée maître-des-animaux.
Le côté princesse, c'est les petits gestes et attitudes genre "parce que je le vaux bien". Accessoirement, elle déteste avoir les mains sales, du coup tenir un biscuit chocolaté elle-même est inenvisageable plus de 5 secondes. Ses esclaves (moi et maman Koala donc) doivent donc nourrir sa majesté.
Le côté guerrière c'est plus lié à son absence totale de peur et à ses talents d'acrobate : elle grimpe partout, tout le temps, dès qu'elle le peut, ne supporte pas qu'on l'aide, et adore se suspendre à bout de bras et se balancer comme un petit singe. Mais ce sont aussi les ramponeaux qu'elle balance parfois à son frère, une tête de plus qu'elle, et qui le font chouiner comme une fillette.
Quand au côté maître-des-animaux, ce sont les gènes de maman Koala qui ressortent : Xéna ne peut pas voir une petite bête (chaton, chien, oiseau, hérisson, autruche, grizzli, etc...) sans avoir envie de lui faire un câlin ou une caresse.
Quand Xéna est fâchée, elle ne crie pas, elle hurle. Si ça ne suffit pas, elle se roule par terre. Pas de chance pour elle, papa Hérisson et maman Koala sont plutôt têtus (et blazés : le Petit Prince a eu sa période aussi).
Son régime alimentaire est très varié (ce qui inclus des éléments plutôt inhabituels chez les enfants, tel que : avocat, salade, houmous, bigorneaux, etc...).

5. Chat n°1 [parti chasser la croquette au paradis des chats]
Pot de glue patenté. Chat roux vaguement tigré, perdant ses poils environ 400 jours par an, très câlin : il adore qu'on caresse et qu'on le grattouille (le meilleur moyen qu'il ait trouvé pour déposer son excédent de poils sur vos fringues). Son miaulement se situe entre le grincement d'une porte de prison moldave en rupture de "3 en 1" et le râle d'un ornithorynque asthmatique. Il ne griffe pas, ne mord pas, mais ronronne beaucoup et tout le temps. Et il a le nez qui coule. Enfin, il paraîtrait que ça serait un excédent d'hormones parce qu'il est super content. Et grosso modo, il est content tout le temps. Il aime tout le monde, surtout ceux qui n'aiment pas les chats. Et d'autant plus s'ils sont allergiques. La seule chose qu'il déteste, c'est chat n°2, qu'il tente d'assassiner avec brutalité et sauvagerie dès que faire se peut (en gros dès qu'il la croise). Gueule comme un âne pour sortir lorsqu'il est dedans.  Braille comme un cochon pour rentrer lorsqu'il est dehors. A tendance à marquer son territoire par détestation de chat n°2 (à moins que ça ne soit juste pour enquiquiner le monde). Et pourtant, il est stérilisé. Il chasse le piaf et la souris avec un assez bon taux de réussite. Parfois surnommé "Firefox", "Panda Roux" ou "La Glue".

6. Chat n°2
Est une chatte. Enfin, était avant sa stérilisation. D'une belle couleur noire élégante (comme Caliméro avec lequel elle partage certains points communs d'ailleurs), c'est une trouillarde invétérée... c'est pas compliqué : elle a mis plus d'un mois à s'habituer à la présence du chien là ou tous les autres ont mis grand maximum 72h. Passablement mal codée (en terme de comportement félin j'entends), elle semble aussi un tantinet cinglée, ce qui explique peut être son inimitié avec chat n°1. Non, correction : son inimitié avec quelque chat que ce soit. Gourmande, elle chaparde la nourriture quand elle le peut, et sinon passe l'essentiel de son temps à dormir, ou à pisser là où elle ne devrait pas (sans doute pour marquer son territoire vis à vis de chat n°1). N'est câline qu'avec papa Hérisson (encore que ça semble s'arranger ces derniers temps avec les gens qu'elle connait bien). Son principal atout : elle boulotte les araignées (ça tombe bien, maman Koala est assez phobique de ces bestioles). Surnommée "Nénette", ou "Panthère Noire d'Appartement" selon l'humeur.

7. Chat n°3
Récupéré avec son frangin (placé depuis) par un beau mois de juillet il me semble (comme la majorité de nos pensionnaires du reste). Faisait à l'époque 300g tout mouillé (son frère deux fois moins). Impossible à caser car était une vrai teigne. En toute logique, maman Koala s'enticha donc de celui-là ("Tu comprend, personne ne peut l'aimer!" en combo avec de petits yeux larmoyant de koala kawaï). Il doit bien peser dans les 7 à 8 kg à présent, et se promène allègrement en dandinant son popotin potelé. Les séances de câlin imposées par maman Koala ont dû atteindre leur but, car à présent c'est une crème  de chat. Bon il a quand même toujours son p'tit caractère : y a des moments où faut pas le chercher. Sauf Xéna envers laquelle il semble avoir le coup de cœur. Et lui non plus n'aime pas chat n°2 (mais ça, ça n'a rien d'inhabituel : personne ne l'aime celle-là). Il est très gourmand, et mange de beaucoup de choses, mais serait capable de vous tuer pour vous chipper vos asperges! Il chasse la taupe avec obstination et une efficacité étonnante (je le loue à bon prix). Parfois surnommé Grosses-fesses, c'est sans doute le moins pénible du lot. Lui aussi est stérilisé (comme tous nos pensionnaires félins, ce qui n'empêche par leur nombre de stagner malgré les décès, voire d'augmenter, ce qui m'amène à supposer qu'ils se reproduisent au contact de l'eau comme les gremlins). Surnommé "Grosses Fesses" (en raison de la taille imposante de son popotin), ou encore "Raton-Laveur" suite à notre dernière visite de zoo.

8. Chat n°4
La dernière arrivée (juillet 2013). Abandonnée au moment des grandes vacances comme n°1 et n°3, sa petite bouille de chaton noir et blanc a réussi à attendrir maman Koala et Xéna-princesse-guerrière sans difficulté. Elle est donc logiquement toujours présente et a sans doute peu de chance de partir. C'est en toute logique la plus jeune de nos chats, et la plus frappadingue. Passe son temps à courir, sauter, enquiquiner les autres, voler de la nourriture. De temps en temps, elle se jette frénétiquement sur vous pour avoir un câlin, auquel elle finit par mettre fin (quand elle estime que ça a assez duré) en vous griffant et vous mordant. Son obsession : manger. Beaucoup. Tout le temps. Quitte à voler, c'est plus marrant. Surnommée actuellement "Gremlins" en raison de sa capacité phénoménale à faire des conneries. Stérilisée depuis peu (ce qui lui avait valu temporairement le surnom "ouverture facile" en raison du petit surgeon ressemblant à une languette). Faudra d'ailleurs qu'on m'explique pourquoi c'est à moi que ça coûte un testiboule quand ce sont les chats qu'on stérilise... Généralement surnommée "Niquedouille" (parce que parfois nigaude) ou "La Putoise" (rapport à la couleur on va dire).

9. Chien n°1 [parti garder les moutons au paradis des chiens]
Également surnommé "Bouchon", à la base parce que quand on l'a eu c'était un adorable "petit bouchon", que parce que maintenant il a vite tendance à faire "bouchon" dans le passage à tout moment. De marque colley. Victimes du syndrome "Lassie", les gens pensent souvent que c'est une femelle. Mais non, c'est bien un mâle. Gentil et relativement obéissant, il a juste une fâcheuse tendance à aboyer, souvent et fort (ses gènes de chien de berger surement). Il est aussi très (trop) gentil avec les chats, qui ont tendance à en abuser. Par exemple, lorsqu'il était petit, chat n°3 lui grimpait dessus pour faire dodo dans sa fourrure.
Il fait très bien le regard désespéré du chien le plus malheureux de la terre, même, et surtout, s'il n'y a pas de bonne raison à cela. A côté, le Chat Potté n'est qu'un acteur de bas étage, et les cockers peuvent aller se rhabiller.
Son principal pseudonyme : "Pousse-toi!". Deuxième surnom fréquent : "Tais-toi!".

10. Chien n°2
Surnommée Boulette, surtout pour sa capacité hors-normes à en faire. Improbable croisement entre :
  • un diable de Tasmanie : pour l'aptitude à bouffer tout et n'importe quoi. En grosses quantités. Je ne rigole pas : elle bouffe même les pots de fleur. Oui, les pots pas les fleurs. Enfin, les fleurs aussi en fait. Et : oui, les pots en terre cuite, pas en plastoc. Oui, je sais ça croustille sous les crocs. Le son produit est absolument atroce. Elle bouffe aussi le charbon de bois (froid je vous rassure) qui tombe parfois de la cheminée. Et elle dévore les livres. Littéralement je veux dire, car elle n'a aucune passion pour la lecture.
  • Une chauve-souris : rapport aux grandes oreilles, et au fait qu'on a l'impression qu'elle vole autour de nous en s'énervant lorsqu'on apporte la gamelle.
  • Une hyène : surtout à cause du museau charbonné et du pelage noir-beige-beige clair passablement bringé (sinon elle est un peu ratée car ses oreilles sont pointues et non arrondies). Enfin ça et l'haleine de chacal lié au fait qu'elle bouffe les carcasses de piaf et de souris que les chats nous ramènent, ainsi que les coprolithes laissé ça et là par ses congénères. Yerk!
  • un kangourou : rapport au fait qu'elle ne cesse de bondir dans tous les sens pour manifester sa joie, bousculant par la même occasion tout ce qui est susceptible de l'être : gnomes, vaisselle, vieilles en déambulateur, vase Ming inestimable de tata Cunégonde...
  • un pokémon : elle ne cesse d'évoluer. Elle grossit (pu###n, mais qu'est-ce qu'elle grossit! 15 kg à 4 mois, 20 à 5 mois... vous imaginez le bestiau adulte?), elle change de texture et de couleur de poil (passant du blanc-beige texture doudou au beige-marron-noir texture chameau), et développe de nouvelles capacités (enfin, disons qu'elle arrive à bouffer des trucs qu'elle ne bouffait pas avant quoi... en classe de pokémon, je penche pour une sorte d'enzyme glouton).
  • Une moufette (ou sconse) : rapport aux flatulences délicatement parfumées, et sans doute assez proches de ce que mes grands-pères ont respiré dans les tranchées en 14-18, que l'animal lâche sans vergogne à tout bout de champ.
  • l'escargot : elle bave beaucoup en voiture (quand elle ne vomit pas).


11. Colegram, le hérisson du jardin (ma mascotte finalement)
Récupéré au bord d'une route en pleine journée par un début de printemps froid et humide, la petite boule de piquant n'avait aucune chance de s'en sortir. Avait-il été abandonné par sa maman (à moins que cette dernière n'eut été victime d'un accident de la route, chose fréquente pour ces p'tits animaux) ? En tout cas nous lui avons offert un abri chez nous le temps de le remplumer et que la météo soit plus clémente. Nous l'avons aussi débarrassé de sa vermine (puces, tiques, ...) et vermifugé. Lorsqu'il eut atteint le poids réglementaire pour un hérisson adulte, nous l'avons relâché au jardin, afin qu'il paye sa dette morale envers nous en bouffant ces @#%$ de limaces et d'escargots qui bouffent nos légumes du potager.
Notons cependant qu'il a conservé des goûts de luxe, et tente de pénétrer dans  notre maison (pas fou, c'est chauffé!) dès que la température n'est pas à son gré.

7 commentaires:

  1. Ahahaha, beaucoup d'humour ! J'ai bien ri :)
    (et je vous ai bien reconnu ! <3 )

    RépondreSupprimer
  2. Alors tout est vraiment bio dans le jardin : l'anti-limaces, l'anti-escargots, l'anti-souris et même l'anti-taupes ! Manque plus qu'un lama pour l'arrosage automatique ^^

    Très bon article : très drôle avec de petites touches cartoonesques du plus bel effet :)

    RépondreSupprimer
  3. Je tombe sur ce blog un peu par hasard, via papacube.

    Deux enfants rapprochés, un garçon en premier... intéressant.

    18 ou 19 mois au compteur entre un premier petit garçon né en 2014, et un Centimètre au sexe encore indéterminé au début de l'automne prochain.

    Je ferai bien de garder ce blog à l'oeil...

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Tu as raison de le garder à l’œil, des fois j'y écrit même des trucs utiles ;)

      Supprimer
  4. Sur le coup je t'ai pris pour quelqu'un d'autre et j'ai seulement percuté quand j'ai compris que tu vivais dans l'illégalité avec la Naturopathe, connaissance commune de travail. Ça y est je vois qui tu es maintenant ���� Moi qui croyais que tu étais un homme sérieux, pas déjanté pour un sou, geek certes !!! mais plutôt british, old school quoi !! Ah bein au secours les stéréotypes là �� Ce qui aurait dû me mettre la puce à l'oreille c'est cette relation avec la Naturopathe, qui affichait son côté déjanté dès qu'une occasion se présentait��
    Et là les regrets massaï !!! J'aurai dû caler toutes mes pauses avec toi, ça m'aurait éviter l'explosion en plein vol !!�� Promis, juré, rake peu �� A la lecture de ton "Album de famille" j'ai regretté que le canapé soit situé si loin des toilettes �������� La vie ne doit pas être triste à la maison !!! Du coup je me suis abonnée à ton blog également, et j'arrête les anti dépresseurs �� Biz. Yvette


    RépondreSupprimer